C'est le constat d'Antoine Dubout, président de la FEHAP, suite à la lecture de l'avant-projet de la loi "Hôpitaux, patients, santé, territoire." Je vous invite à lire son édito sur le site de la FEHAP. La phrase clé est:
"pourquoi se priver de reconnaître la place et la singularité d’un tiers secteur, alliant gestion privée et service de l’intérêt collectif ? En France, la part de l’hospitalisation privée commerciale, sans équivalent en Europe, est désormais majoritairement contrôlée par des groupes financiers. La conversion récente de ces grands groupes aux valeurs du service public sera-t-elle durable ? Est-on si sûr de la réussite de cette énième réforme de l’hôpital pour ne plus rien laisser subsister entre le secteur public et les fonds de pension ?"
SI c'est vrai, on marche sur la tête...Il n'y a pas que les Bourses qui chutent.
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