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Commentaires

Kiwfranc

Denise
Action/réaction = presque du Livechat ;-)
Maintenant,j'attends le prochain billet pour en savoir plus. Merci à toi

Denise Silber

Je réagissais à l'idée que les patients allaient mieux par le passé que maintenant...en donnant des exemples de maladies qui faisaient souffrir voire qui raccourcissaient l'espérance de vie. Le progrès réside dans le progrès de la médecine.
(Ils allaient mieux peut-être ;-) mais ils mourraient plus tôt)

Kiwfranc

"Comment allaient les patients alors ? (Les hypertendus et cardiaques d'il y a une génération ou deux, pas trop bien; les coxarthroses avancées non plus; l'ulcère n'en parlons pas)"
Pas entièrement d'accord avec toi, il y a certainement, beaucoup plus d'hypertendus, d'ulcère d'estomac... de nos jours avec notre monde moderne et qui sont encore là aujourd'hui. Mais oui grâce aux NTIC, ils peuvent trouver des informations plus rapidement sur le Net (bien que les remêdes de grand-mère soient encore répandus.
Certes, il est important de se tenir au courant des nouvelles techniques pour améliorer le suivi des patients mais je ne suis pas certaine que le fait d'être sur Twitter, Facebook... puisse entrainer une meilleure qualité du suivi du patient! Ou alors, je n'ai pas saisi le sens de ton article, peut-être bien.
Je sens que je vais parler du temps d'Hippocrate !

Denise Silber

Nous pouvions être mieux écoutés c'est certain, lorsque le nombre de consultations par jour était moindre en moyenne et peut-être aussi, lorsque la médecine était plus "contemplative" puisqu'il y avait moins de possibilités d'action.
Comment allaient les patients alors ? (Les hypertendus et cardiaques d'il y a une génération ou deux, pas trop bien; les coxarthroses avancées non plus; l'ulcère n'en parlons pas)
Mais, je suis d'accord qu'il faut remettre le tout dans le contexte de la médecine générale d'aujourd'hui -- un métier moins satisfaisant que par le passé, c'est sûr.
De là à dire que le médecin peut, sans souci, se tenir à distance de l'évolution culturelle / sociétale de ses patients, je suis moins certaine.

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